• Tout d’abord, je ne sais aucun cas où quelqu’un s’est servi d’un téléphone cellulaire comme arme pour se défendre ou pour attaquer quelqu’un, alors quel est le réel  danger du cellulaire. Je ne vois pas qu’est ce que le fait d’envoyer des textos ou d’appeler quelqu’un peut faire de grave. C’est probablement en raison du fait que ces nouvelles technologies peuvent filmer et prendre des photos. C’est donc pourquoi je crois que ces téléphones cellulaires ne devraient pas être tolérés en classe mais dans la salle, je ne vois pas quel problème ils peuvent poser. Selon moi, ces gadgets ont une beaucoup plus grande utilité que du simple fait de faire suer les enseignants. Beaucoup ont besoin de leur cellulaire pour leur emploi qu’ils occupent et ils peuvent également être utiles pour la survie. Si jamais je me fais attaquer en pleine rue et que je n’ai pas mon cellulaire pour appeler de l’aide, je serais terriblement en colère contre l’école.

     

    Par la suite, n’est ce pas un peu exagéré la confiscation du cellulaire pour 30 jours dès la première fois? Je ne crois pas que l’élève devrait se faire enlever son cellulaire pour une durée d’un mois. Avant tout, chaque cellulaire qui fonctionne a un forfait et ce forfait doit être payé sur une période mensuel, et lorsque celui-ci est confisqué, eh bien l’école ne pait rien, donc les parents doivent payer pour un mois où le téléphone n’a même pas été utilisé. Trente jours ça n’a pas l’air si énorme, mais si on regarde d’un autre côté, c’est un douzième de l’année. C’est un douzième de l’année où l’élève ne pourra contacter personne si jamais il est en difficulté, c’est un douzième de l’année où l’élève ne pourra pas être contacté, c’est un douzième de l’année où l’élève est privé d’un outil beaucoup plus utile que ce que l’école imagine.


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